Nous voici à Wellington la capitale de la Nouvelle-Zélande. C’est aussi notre premier jour de mauvais temps. Les quais de la ville généralement très attrayants font grise mine sous des nuages bas et un vent glacial.
Nous choisissons donc d’aller dans le plus grand musée du pays : le « Te Papa museum ».
Bon depuis sa terrasse le temps n’est pas meilleur
Ce musée très interactif regroupe dans ces 6 niveaux différentes expositions telle que « Kaleïdoscope » très colorée.
Il mélange aussi, dans un ensemble un peu disparate et confus les débuts du pays et des périodes plus récentes.
L’étage consacré à l’histoire et à la culture du peuple maori ainsi qu’à l’arrivée des européens est très intéressante et montre bien l’interaction entre les deux cultures. Malheureusement, dans cette partie du musée, les photos sont interdites par respect des communautés.
L’après-midi le ciel ne s’étant pas découvert nous décidons quand même d’emprunter le « Cable car » ce funiculaire qui nous emmène sur une colline dominant la ville.
Bon la vue n’est toujours pas extraordinaire…
Nous nous dirigeons donc vers Zelandia cette « réserve » d’oiseaux, véritable morceau de jungle en pleine ville. Durant notre promenade nous pourrons rencontrer des espèces endémiques du pays qui mérite bien la fougère comme emblème.
C’est un petit safari photo pour essayer de capturer, avec l’appareil photo, ces oiseaux bien décidés à jouer à cache-cache avec nous.
Le lendemain c’est le départ pour l’île du Sud. Tout commence par le ferry qui peut embarquer près de 1 400 personnes et leurs véhicules. Autant dire que nous sommes nombreux dans la queue dès 7 h du matin.
Lorsque nous embarquons il reste encore de nombreux véhicules en attente.
Puis finalement c’est le départ et c’est sous le soleil que nous quittons Wellington…
… pour retrouver 3 heures plus tard les rivages de l’île du sud en direction de Picton la fin de notre traversée.