Grâce à notre guide « Petit Hergé » nous avons pu pénétrer à l’intérieur un quartier particulier de Buenos Aires :

« La « Boca« et sa mauvaise réputation dans lequel les touristes sont cantonnés au « Caminito ».

Cette usine française abandonnée pourrait être définie comme la limite à ne pas franchir.

Derrière se situe le « vrai » quartier de La Boca. Mal famé il est fortement déconseillé de s’y aventurer sans être accompagné d’un « local » et surtout de prendre des photos de ces maisons souvent en ruine et habitées par des trafiquants de toute sorte. Heureusement notre guide veillait sur nous mais nous ne sommes jamais descendus de la voiture. 

Ce quartier s’est développé à la fin du XiXe siècle autour du port et il fut, dit on, le berceau du tango.

Le Caminito avec ses façades en tôle ondulées colorées a été « réhabilité ».

Mais il reste encore quelques bâtiments d’époque au décor suranné plein de charme

En quittant ce lieu nous nous devions de passer devant la « bombonera » surnom donné au stade de foot de Boca Junior le cinquième club ayant remporté le plus de titres internationaux au monde avec 18 titres et renommé pour avoir compté parmi ses rangs Diego Maradonna (avant sa période au Barça) et l’entraineur Carlos Bianchi.

Ce pourrait être notre dernier mot en Argentine mais comme partout ailleurs tout se finit en chanson et nous vous convions à un spectacle de tango pour terminer notre aventure.

Ambiance feutrée du cabaret

Et spectacle magnifique

Mais rien ne vaut un petit extrait en musique…

2 commentaires

  1. Descours et Cabeau ont un magasin à Comboire loin, loin de l’Argentine.Vous n’êtes pas descendu de la voiture, mais on aperçoit quelques trompe-la mort et qui prennent des photos.En tout cas les images sont plus que superbes et on sent avec plaisir le commentaire bien marqué par une érudition sans faille d’un point de vue footballistique.

  2. Cette usine est effectivement la « limite ». C’est depuis le quai surélevé, juste en face que, descendus de voiture, nous avons pu prendre les photos du port. Mais après avoir tourné le coin de la rue et être passés derrière l’usine, il n’y avait ni dans les rues, ni sur les photos, plus d’autres personnes que des tatoués à l’air pas…tibulaire mais presque.

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